Pôeme que tu ne liras pas

 

Nous avions si longtemps ensemble joué..

Néanmoins jamais avec les sentiments.

De mon village natal a notre exil crucial

Tous mes rires d’enfant sont omniprésents

 

L’enthousiasme que j’avais quand j’étais enfant

De temps a autre revient et déborde dans mon cœur

Souvent parfois quand tu annonçais ta venue

je sentais monter des ondes d’une grande vertu

 

Toi seul savait que tu étais dans ma vie

Tu étais mes jeunes années, la mémoire de mes pensées

Tes péripéties étaient semblables aux miennes

Notre errance était le même

 

Ses dernières années la vie nous avaient rapprochais

De nos soucis nous étions à l’apogée

Mais comme tout es éphémère sur cette sphère

Nous avons raillez nos  galéres 

 

Puis tu avais enfin touché le bonheur avec ta dernière fleur

Qui a su te donner toute sa chaleur !

Elle savait parler à ton cœur et lire dans té pensé

Et mon esprit était enfin en paix….

 

Hélas la vie est faite de controverse

Tu as rejoint trop tôt ton fils parti un soir d’averse

En nous laissons dans une grande tristesse funeste

Mais toi dans ta détresse soi en paix près de ton enfant céleste

 

Le temps nous rappelle aux souvenirs d’antan 

Tout en émotions attentifs a cette horloge qui égraine le temps

Qui semble nous interpeller sans se soucier du moment ?

C’est avec un fond sombre un peut affligé je te dis à bientôt

 

A présent il pleut dans mes souvenirs

Désormais Il y a une faille béante

Mon passé s’enfuis comme s’il devait te rattraper

Tu as était mon tonton, mon ami, et mon frère 

 

Ta présence combien a présent me manque

  otangerac  le 02.01.2007