Archive for janvier 2010

La plume d’argent

J’écris à un amour
perdu
Lointain de mes silences repus
Douce peine en mon cœur fatigué
Par une amante d’une fragilité ambiguïté

J’écris comme je pleure son corps
De cette femme qui manque à mes accords
Reste en moi d’amers remords !
Les souvenirs des essors

Des poèmes aux senteur de lavande 
Mais la savoir là bas m’amande
Je me dis que son silence c’est des mots
Je lui dis que la lire c’est l’aimer comme un sots

Et si je la savais heureuse ce serait fort.
Bien plus que notre amour né mort
Je l’embrasse de ma tendresse inutile
De mes mots simples cons et futiles

Elle est à jamais dans mon coeur arrogant
Cette amie lointaine de ce continent
j’aimerait comme elle écrire en lettres de sang

Sous une blanche plume
d’argent

Mais par maladresse d’en dire trop je terrerais ici mes mots

 

Otangerac

Cependant



Je vis en léthargie écartée de
toute joie

Trois chats pour toute vie dont un
siamois

Un chien vilain avec sa peau de chagrin

Qui venait de je ne sais d’ou ni par
quel chemin

 

Tous des abandonnés du bonheur

Dans nos tourments sans heurts,

Que des amours fragiles

Des regards et des gestes imbéciles

 

Tous ses animaux n’ont pas de noms

Cela m’évite de les appeler d’un
nom à la con

Je ne sais qui est le male ou la
femelle

Tous font silences autour de la même
gamelle

 

On voisine chacun chez soi !

Sauf le chien qui me suivait
parfois

Ce soir je ne sais pourquoi ?

Mes pensées s’attardent sur lui qui
n’est plu là !

 

Dix ans ensemble à se regarder
vivre

A écouter les idioties de mes jours
les plus ivres

A supporter mes éthyliques coma

Pourtant il était là et libre a
tout vas

 

Je n’ai jamais compris jusqu’au
jour de son trépas

Pourquoi il n’écoutait que moi

En le voyant partir ce jour
là !

Dans son regard j’ai compris qu’il
n’aimait que moi

 

Personne ne veut le croire

A présent je vis seul démuni d’un
bout de mon histoire

Un grand vide immense à mes pieds

Un collier vacant et une gamelle
argentée

 

Cependant je vous assure que l’on cet aimé

 

Otangerac

Un peut d’histoire

Un peu d’histoire sur pont saint esprit les bruyères le château et son illustre propriétaire dont j’ai bien du mal a réhabiliter les mémoires, de Monseigneur le Comte de LEZERT lieutenant du ROY je vous poste ici le lien de quelques documents en vente sur Internet au enchères qui malheureusement je n’est pu négocier faute de n’avoir pas su au bon moment (preuve que d’autre personnes s’intéressent a notre histoire), sur ses documents que je donne le lien plu bas l’on lis très bien le nom du lieutenant en question..  Je poste ici des documents dont un relevé cadastral et une déclaration de ressources datant de l’époque napoléonienne originaire des archives de Nîmes qui indique très clairement la partie château(en orange) la partie maison(en jaune) les écuries(en rouge) les jardins(les jardins en vert et bleu)  et les terres puis les changement de propriétaire vers 1791je suppose après son trépas puisque l’on vois très bien que le nom de LEZAERT a était hachuré et plu bas la reconstruction du château et la réhabilitation vers 1827

 

436. Freytag (Jean-David) ; né à Strasbourg (1765 – 1832), Général. 2 L.A.S. a- du 28 prairial an 3 (16 juin 1795), au Général Cervoni, à Finale ; il lui donne ses instructions offensives et

 

Nationale sur la tranquilité publique et le soulagement du peuple ; P.S., explication d’un article  sur les dîmes, signé des deux députés (in-f.1 p. 1/3). TESTE (Jean-Baptiste), jurisconsulte, Ministre des Travaux Publics, né à Bagnols : L.S. du 14 novembre 1841 à M. Esperandieu au Pont-St-Esprit ; lettre de recommandation (in-4, 1 p.). GARDE NATIONALE de PONT-ST-ESPRIT : dossier de 32 pièces manuscrites certaines signées du Marquis de La Fare ou d’autres responsables, sur l’organisation et le fonctionnement pendant et après les Cent-Jours. PONT-ST-ESPRIT : dossier de 15 pièces manuscrites diverses sur la Révolution et l’Empire, dont un beau passeport et les signatures de Gautier, Pellissier, Belgarrie, Marty, Desforges de Vassenc, le comte de Lezert, Descombes, Boisset, Baratier, etc. Ensemble de 14 pièces manuscrites : affiche de vente de biens d’émigrés (Melchior Vogüe) ; feuille d’engagement militaire visée par le maire et le médecin ; feuille de pension de veuve militaire ; relation de la prise de Toulon ; procès-verbal de la Société de Saint-Julien de Peyrolas ; L.S. de la Société des Amis de la Liberté et de l’Égalité de Bagnols ; annonce de la vente des moulins et usines d’émigrés, signée Teste ; Bertrand, accusateur public : lettre sur des gens recherchés ; chevalier Desforges de Vassenc : circulaire sur des déserteurs par Marconnez ; Académie de Législation par J.T. Bruguière du Gard ; en-tête révolutionnaire d’Uzès ; etc. 5 documents imprimés dont affiches de la Notification faite par le Premier Consul aux envoyés des départements à la fête du 1er vendémiaire an 9 (23 septembre 1800, pose de la première pierre du monument élevé à Desaix et Kléber).                 500 / 800 €

 

·  LOT DE 3 DOCUMENTS MILITAIRE GARDE NATIONALE ET DIVERS en vente …

une grande lettre DE 3 GRANDES PAGES IN 8 de 1816 ecrite par le lieutenant du roy mr le comte de Lezert COMMANDANT LA PLACE DE PONT SAINT ESPRIT pour divers …
cgi.ebay.fr/LOT-DE-3-DOCUMENTS-MILITAIRE-GARDE-NATIONALE-ET-DIVERS_… – En cachePages similaires

·  LOT 2 DOCUMENTS GARDE NATIONALE PONT ST ESPRIT 1816 en vente sur …

 – 23:35

LE SECOND document est une lettre de deux pages du comte de Lezert de pont saint esprit lieutenant du roy commandant de la place de pont saint esprit …
cgi.ebay.fr/LOT-2-DOCUMENTS-GARDE-NATIONALE–PONT-ST-ESPRIT–1816_… – En cachePages similaires

 

 

Nuits de Byzance

 

En passant au dessus de chez toi

J’ai le cœur chargé d’émois

Ma bouche mime d’infinis silences

Et mon sac à souvenir et en souffrances

 

Croyant être libérer de mes angoisses

Loin de se lieu qui nous a porté la poisse!

A avoir tenter si longtemps de respirer sans toi

Pour me croire finalement moi

 

Cependant il sufis juste que je m’arête

Pour que surgisse à la fenêtre

Touts ses chapelets de tendresses

Au confins des nos soirées d’ivresses

 

Curieux que tout cela ne se soit pas envolé

Flopées de voluptés

Mêlées de plaisirs

A ne plu savoir qu’advenir

 

A présent mon cœur convalescent

Au hasard d’une visite ce nouvel an

Au grand palais de nos romances

Souvenir des nuits de Byzance

 

Dédié a C.D….. Caregnato Alberto le 20.01.2010

Il faut foncer

                                                                                                          

Apres une union qui avait durer 20 ans et deux enfants on ma notifié mon
congé sans aucune rémission par avocat interpose (motif mettre en péril le bien
familial de mon épouse en faisant mes transactions immobilière) a présent cela
fait rire vu mon parcours, mais pas moi ! On a sacrifié mes sentiments au
nom d’un héritage foncier. Oui bien sur c’est triste, éminent triste. De vivre
encore comme un être inconsolable, ça ne peut pas être pas beau ; on ne peut
pas contempler ça avec ce déchirement nostalgique et sympathique (au sens
étymologique du terme), même si ces confidences remuent chez tous de vives
émotions (moi le premier). Il faut réagir, il a fallu trouver quelque chose
pour reprendre prise parce que c’était trop douloureux. Puis si une séparation a
pu me faire autant de mal, je ne trouve pas ça insurmontable a présent.

Je ne crois pas qu’on répare ses traumatismes en retrouvant un jour, à
l’identique, ce qui nous a manqué, ceux qui nous fait défaut. Mais la première
piste que j’aie trouvé personnellement, c’est celle qui ne dépend que de moi,
puisque je ne peux ni remonter le temps, ni compter sur le hasard, ni prendre
un autre amour en otage pour exiger réparation (j’ai bien essayé, j’ai même
fait des stages chez des amantes mais ça n’a pas porté ses fruits !! ). Elle
consiste à changer SON propre regard sur soi et sur son histoire. Prendre de la
distance, essayer de se "sortir de soi" pour regarder cette
souffrance comme une VRAIE souffrance, une qu’on ne mérite pas, une qu’on ne
peut accepter, une qui n’est pas une fatalité. Je ne sais pas si c’est pareil
pour tous, mais j’ai constaté qu’à force de vivre avec ces vieilles douleurs,
on souffre, mais malgré tout, on les accepte comme une part de nous, comme des
compagnes de routine. Comme quelque chose d’indéfectible.

Et puis un jour, parce qu’on a mis le doigt sur "la" cause comme je
l’ai fait, parce que le reste de notre vie a changé en mieux, parce qu’on a mûri
et qu’on est capable de vivre sans cette sombre mais confortable béquille (et
rassurante, si paradoxal que cela puisse paraître), parce qu’on est prêt à
prendre le risque de recommencer, parce que tant d’autres éléments convergent
pour nous y pousser, on regarde notre histoire et on ne trouve plus ça normal
de souffrir pour ça. On voit cet élément qui fait tâche et là, c’est le bon
moment pour prendre le risque de démêler l’écheveau. Qu’est ce que ça me
permet, qu’est ce que ça m’épargne, de continuer à être cet homme inconsolable
AUJOURD’HUI ?

La route est longue, on ne "guérit" pas d’une séparation assurément,
mais peu à peu, on peut apprendre à la remettre à sa place. Et ces souffrances,
une fois dépassées, ne nous rendront que plus humain et plus fort encore. Il
faut Foncer.

Caregnato Alberto 16 :10 :2009

ou nous trouver

Pont-Saint-Esprit sur carte-france.info.r>

Le chemin sombre

Le mistral nous
racontait des histoires
En ce village ou a fuis ma mémoire
Elle aimais courir dans ce sombre chemin

Et jouait en mettant
en valeur ses seins

Marchais sur la pointe des pieds

Danseuse légère d’une
vie dépravée

 
Elle me regardais et riais
Et moi !moi d’envies je crevais.
Elle avait l’âge des amours de printemps
Des yeux de voleuse de diamants

 

Innocente comme
l’amour au balcon

Mais le cœur acéré
comme un hameçon

Mais par malheur dans mon cœur elle est entré
Lui arrachais la vie et émietté!

Combien se sont
brisés à ce bonheur
Pourtant tu ne leurs avais point promis ton coeur

Tu étais ce mirage d’hommes perdus
Un tout petit poème sur le mur des âmes incongrue

Combien de fois mes larmes séchées, je l’ai relu !
Et en souriant j’en est aimé l’écriture
Tu était le soleil traversent les nuages les jours d’orages
Le mistral dans ma tête qui en bloque ses rouages

 

Je garde en moi un
goût d’amertume
De poussière et de jour de brumes
Tu es l’hirondelle au nid abandonné
L’oiseau aux ailes dorées

Qui survola ma vie
Fière comme toutes les femmes belles
Qui s’imaginent éternelles
Tu es partie une sombre nuit l’on ne sait avec qui.

Je t’attendais devant notre bistrot l’air idiot

Comme un poivrot
devant un verre d’eau
Depuis je ne sais toutes les ombres
Que j’ai prises pour toi dans ce chemin sombre

 

Otangerac 12.01.2010

conseil d’un encien fumeur

 

Un petit coup de mains pour celles qui ont envi d’arrêter de fumer 

J’ai toujours été sensible à la voix des personnes que je rencontre. Et s’il
m’arrive d’être séduit par l’apparence, l’attitude, la tenue, la personnalité
de quelqu’un, je suis subjuguée, en plus, si la voix me plaît.
La voix, c’est d’abord, comme un instrument de musique, un timbre; la qualité
du son dépend en grande partie du genre d’instrument et de sa qualité.
Les violonistes par exemple, rêveront de jouer sur des Stradivarius réputés par
la qualité exceptionnelle de leur sonorité. Mais l’instrument ne fait pas
tout…
Une voix peut se travailler comme on travaille un instrument.
Je suis souvent choqué quand, voyant tout le soin que certaines femmes ont
apporté au choix de leur robe, à leurs bijoux, à leur maquillage, à leur
coiffure et à leur parfum, elles révèlent une étonnante vulgarité dès qu’elles
font entendre leur voix. Cela arrive à des hommes aussi, bien entendu, mais
sans doute parce que, la plupart du temps, ils accordent moins d’importance à
leur apparence physique, on ne s’attend pas à autant d’élégance dans la voix.
Et pourtant, il nous arrive d’être surpris sauf que la voix rauque pour un
homme cela fait homme.
Hier, j’étais en train de choisir des fruits à l’épicerie quand j’ai vu arriver
un beau jeune homme; il était suivi d’une jeune fille dont l’apparence ne
jurait pas trop à côté de son ami. Tout en choisissant mes fruits, j’étais
attentif aux gestes de la jeune dame et de son ami, amusé de voir à quel point
ils étaient assortis et que semblait régner entre eux une belle complicité.
Puis, j’ai entendu sa voix : horreur ! La belle avait une voix de canard !
Et puis, imagine alors le drame pour toute une génération d’acteurs du muet,
quand est arrivé le parlant. Rudolf Valentino ne s’en est jamais remis.
En revanche, pour Garbo, ça a été la consécration. La presse titrant à la une;
" elle parle !" 🙂
Ce qui me trouble toujours, c’est de savoir que les autres n’entendent pas ma
voix comme moi je l’entends.
J’ai aimé ta voix lors de cette émission de radio dont tu nous avais parlé.
Douce et précise…oui c’est bien ça…

Bien soit belle et tais toi
mais après des années de tabagisme actif
une femme a une voix telle qu on sait déjà qu elle doit avoir les artères encrassées,
la peau est terne
une haleine de phoque
une toux grasse de physiques

Ou au téléphone bonjours monsieur (ah non moi c’est madame oh
excusez moi madame)

C’est très important .Tu vas le remarquer dans quelques
années quand tes copines auront des voix anonymes quelconques usées par l’alcool
et le tabac. Des voix de mecs enrhumés

Et que le matin dans le noir on te lance un chéri avec une
voix de mec, adieux les câlins du matin si sa !! médames ne vous enlève
pas l’envie de fumer alors ne recherchez plu l’amour

encore un artiste qui va me manquer

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un pur délice

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