Archive for décembre 2008

La saison de mes amours

 

La couleur de mes amours ardents

N’est plu aux azurs du printemps

Mais dans les ocres de l’automne

Mon amour à la douceur d’une main d’aumône

Même si ce matin sur ses cheveux soyeux

Un peut de neige J’ai trouvé par mis eux

 

Dans le jardin de notre amour en couleur

Je voudrais y cueillir la dernière fleur..

Pour chaque pas et chacun de ses baisers

Passera le temps et des hivers glacés

Mais je n’aurais pas peur pour autant

De courir vers elle comme le vent

 

Pour le temps il n y a pas relâche

Toutes les joies et chaque douleur qui passe

Je puis les retrouver dans la lumière d’un instant

Les compter sur les sillons de son front brûlant

Et en ses yeux humides témoins de nos chagrins

Pour tout cela je ne lui lâcherais pas la main

 

Otangerac

 28 :12 :2008  COPYRIGHTÓ tout droits de reproduction est interdite  en France et à l’étranger

Le corège vers l’inconnu

 

 

 

Si je suis en vie aujourd’hui c’est grâce à ma mort

Qui un jour ma dit tu me manquera beaucoup !

Pourtant il aurait suffit d’une minute pour me perdre dans l’éternité.

Depuis pour moi les jours sont comme lorsque l’on descend d’un train

On aimerait bien qu’il y ait quelqu’un

Pour nous expliquer quel goût ça a la vie au-delà !

Aux confins des frontières bercer par le fil du rasoir
Et pouvoir y aiguiser l’envie de changer de côté

 

Tout en faisant cortège vers l’inconnu d’un soir

Si chaste et si calme que vous soyez,
 Vous invite a dormir en des tombeaux de marbre noir

En compagnie de quelque cyprès au parfum de chrysanthème !

 

Tous les jours elle est tout près de nos cotés silencieux

Ne prenant pas de place, elle attend !

Tout en guettant notre dernier souffle.

Loin de la lumière près d’un coin obscur

 

Elle nous attend, depuis notre ombilical cordon

Et parfois infiniment longtemps…

Elle est là dès nos couches culottes à nos rides..

Quoique l’on fasse, quoique l’on dise…

 

Elle est bien la seule compagne fidèle

De toute épreuve que beaucoup rejettent,

Craigne ou ignorent tout au long de leur existence…

Pourtant c’est elle qui nous glace le cœur,

 

L’amante d’un moment, un seul, le dernier

Qui crée l’égalité entre les hommes…

On ne peut effectivement douter d’elle…

Quelle soit en plein éclat ou derrière le miroir!

 

Pourtant pour l’avoir côtoyer de près elle me dit ceci

Viens avec moi et grand sera ton apaisement loin d’ici
Mais La vie surgit extrémiste et me dit :

Reste avec moi tu vivras heureux et sans soucis


Je me suis accrocher à ta vie !

Loin de me douter

Que ta vie s’était mon enfer !

Aussi si par hasard un jour vous la croisé dis-lui que je l’attends….

 

 

Otangerac

21 :12 :2008 COPYRIGHTÓ tout droits de reproduction est interdite  en France et à l’étranger

Da soli a Natale

 
 
Da soli a Natale

Con il cuore in un angolo
e la solitudine in faccia
fumano l’oppio di Dio
da soli come cani da cuccia

Certa gente a Natale
fa la festa in dolore
lontani dai luoghi comuni
in assenza anche di suoni

Un sorriso in un bacio
tra parenti lontani
i loro sguardi si bruciano
tra regali di doni

Esser da soli vuol dire
uscire senza saper dove andare
e in questi giorni di festa
il cielo diventa una frusta

Gli esseri soli si trovano
con la speranza nel cuore
di passare oltre in silenzio
indenni il ponte e anche il sole

Per tutti è festa e anche il giorno
sembra una notte un inferno
senza una luce e nel buio
la tua anima sola è di cuoio

Là sotto l’albero appesi
come pupazzi reclusi
danno di tutto e anche avere
sarebbe bello volare

Esser lontani dal cielo
di solitudine in volo
come gabbiani ti giuro
esser da soli è digiuno

Da offire facendo sorriso
che chi è da solo ha un bel peso
da sollevare in silenzio
muto d’amore uno schianto

Per tutti è festa e anche grande
ma per alcuni è distante
la gioia loro è di dentro
da far passare ed in fondo

Aspettano giorni migliori
per corrispondere fiori
oggi abbracciati dal nulla
domani si spera una stella

Da soli a Natale si nasce
ed anche da soli si cresce
ed è per questo che il sole
dona a chi è solo calore

Quello che riscalda ogni cuore
che la solitudine muore
quando lei sente parlare
solo tuo amore mio amore

Mario Salis
18 XII 2007

Mes voeux

 

 

Je ne suis pas le père Noël

Je ni puis rien 

 

Je n’et que des vœux à offrir :

Des vœux j’en es énormément

Choisissez celui que vous voulez,

Puis non ! Prenez-les tous.

U n train

 

 

Trop de trains dans notre histoire

Chaque fois un adieu dérisoire

Chaque fois un au revoir sans fleurs

Le dernier est parti en ignorant mes larmes et ma douleur

 

En ce jour anniversaire

 Le soleil ressemble à un ami qui se désespère

Un silence de douleur sans un bruis

Un grand besoin d’amour mais ce monde me fui..

 

Adieu amour ou que tu soi

Et avec qui que tu soi

Ne me demande pas pourquoi je pense encore a toi

Je suis rester seul confus et sans voix

 

Le temps qui passer n’a aucune importance

Les rides sur mon visage sont une évidence

J’ai plaisir a pensé que toi aussi tu as eut du chagrin

Et que tu aurais aimé descendre de ce train

 

En oublient notre stupide et démesuré orgueil

Comme une feuille au vent au loin s’en va sans mon fauteuil!

Je me retrouve pensant à toi presque chaque jours

Un simple et cour instant qui dure toujours

 

Se sont mes pensées mon amour ma faiblesse

Qui retourne vers toi pour tes caresses !

Adieu amour, adieu d’un garçon en détresse

Avec qui sur le banc d’une église tu avais fait une promesse !

 

Un garçon un peut solitaire mais si différant

Qui longtemps est resté sur le banc !

Cherchant à comprendre

Pourquoi ce train a put tout me prendre!

 

A présent sur mon fauteuil a deux roues

J’ai tout le temps de penser a toi

Et à ce train qui un jour m’amputa

Mais ça tu ne le sais pas je l’avoue

 

Otangerac

 12 :12 :2008 COPYRIGHTÓ tout droits de reproduction est interdite  en France et à l’étranger

Noel pour toutes les maman qui sont au ciel

 

Je cherchais déjà les lumières de Noël

Les nouvelles étincelles et décoration

Pour mon grand arbre

Cette fois pourtant la recherche étais lente

Réfléchi et presque fastidieuse fatigante

Je ne russisait pas a m’enthousiasmé comme d’habitude

Dans le magasin je me déplaçais comme un automate,

Cherchant celle qui aller réussir à colmater le vide que j’avais en moi

Tu n’étais plu la pour pouvoir animer mon grand sapin de chaque année

Je le décorais seulement pour te voir stupéfaite devant lui

Seulement pour te faire plaisir, pour t’arracher quelques étonnements

Qui s’éclairait dans tes yeux et te faisait extasier en l’admirant !

Maman je t’aime, aide-moi à avancer même sans toi.

J’étais-la! ébahie, je cherchais à faire semblant que rien ne c’est produit

Faire semblant que tu sois déjà passer à la maison pour voir la nouvelle décoration

Mais tu ne les vois plus:

Maman cette fois ne me demande pas d’endosser la même joli masque de sourire

Pour contenter les autres, je t’en prie: pas ce Noël.

Toi tu ni es plu et le masque ne tient plu sur mon visage.

Puis tu vois…ce petit arbre lumineux, petit comme mon petit cœur,

Radieux, comme l’amour que tu ma donner

Comme cela tu sentiras à nouveau cette chaleur qui me faisait rougir chaque fois !

Que tu me montrais que tu étais fière de moi,

Et que c’étais pas la grandeur des choses qui les rendaient belles

Mais l’amour avec les quelles ont les préparent

Regarde ce petit arbre lumineux

Car cette fois c’est moi qui te le porte cet arbre

Je ne pourrais pas voir la stupéfaction de tes yeux,

Mais je réussi à sentir la chaleur de ton amour

Lorsqu’un timide rayon de soleil traverse un nuage

Presque comme si tu voulais me dire encore une fois

Aaaah….comme il est beau ton sapin ! .

Joyeux Noël mon ange léger,

Souffle de vent qui poudre mes souvenirs

Rayon de lumière qui irradie mon visage même a présent que tu n’es plu

Bon Noël Maman

Noel je te hais et je t’envie

 

 

Noël je te hais et je t’envie

Tellement beau, comme au paradis !

Tellement riche en affection et en surprises

Tu souris à la vie

Et en même temps la vie te souri

 

Tous se regroupent autour de toi

Pour se divertir et ripailler

Ensemble se retrouver et festoyer

Tu a les saveurs et odeurs de mon propre foyer

Aux effluves de ma douce Gueniévre

 

Mais moi ?

Moi qui suis si loin de ma belle Gueniévre

Comment pourrai-je embrasser ses lèvres!

M’enivrent des plaisirs immenses

Des ses odeurs intenses

 

Des saveurs de ses nuits,

Des plaisirs sans ennuis,

De la chaleur de son corps

Moi ! j’airais aimer avec elle t’embraser encor

Noël je te hais

 

Cynique !

Tu va encore me fendre le cœur?

Tu veux me voir mourir en ce jour de bonheur !

Noël ! Lorsque tu repartiras ! emporte-moi

Et sur les océans lâche-moi

Liber-moi de cette chaîne !

la storia di Marinella

Comme les Roses

C’est l’histoire d’une princesse d’antan

Qui glissa dans le fleuve au printemps !

Mais le vent la voyant si belle

Du fleuve la porta sur une étoile éternelle

 

Seule sans le souvenir d’une douleur

Vivait hormis le souci d’un amour

Voilà qu’un roi sans couronne et sans tour

Frappa trois fois un jour en sa demeure

 

Blanc comme la lune son chapeau :

Comme l’amour rouge son manteau :

Ont l’aurait suivi sans aucunes raisons

 Comme un garçon suit son petit compagnon

 Il y avait le soleil et tes yeux étaient si beaux !

Il embrassa tes lèvres et tes cheveux

Il y avait la lune tes yeux étaient vitreux

Il posa les mains sur ton flanc et ton dos

Puis ce furent baisers et sourires
 Furent surtout féeries et éclats de rires

Que l’on voyait avec les yeux des étoiles !

Frémissant au vent les baisers sous ton voile

On dit que pendant que tu retournais

Dans le fleuve lorsque tu y glissais

Il ne voulait pas te croire morte

Et frappa encore cent an a ta porte

 

C’est le conte d’une princesse ancestrale

Qui vola un jour jusqu au ciel sur une étoile !

Et comme toutes les plus belles choses

Elle a vécu une journée seulement, comme les roses 

 
Et comme toutes les plus belles choses

 

l’amore perduto