Archive for février 2008

Pourquoi

 

 

 

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Pourquoi

 

Pourquoi si longtemps souffrir

De ne point te voir et entendre

Doux feux de lune, angoisse du crépuscule

Mon âme exilée, endure un long séjours

 

De te yeux de source claire

Parfois je discerne du cristal d’onde limpide

Qui par ma faute tu versa

Pour cela je sollicite ton pardon

 

Enivré de ta flamme proche je choit à tes genoux

Parle à mon cœur pour apaiser sa douleur

Dans ce monde si éphémère

Ou tout cour sur une sphère

 

Je suis le prix de l’espoir vain

De ta beauté je suis l’écrin

De mes yeux tu est la canne blanche

Je ne peux ni ne veux de toi ôter mon regard

 

Toi seule peut adoucir mon chagrin

Peut-être demain sur ce chemin ?

Pourrais-je te prendre par la main

Et te dire enfin comme je suis tien
 
 
otangerac

la zizanie

 

 

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La zizanie

 

 

Qu’a-tu fait de ta vie ?

Critiqueur qui vaticine tout et plus encore

Toi ce protéiforme monsieur de cinquante six ans posés

Qui sans constance demeure dans une demi-résidence !

Toi la gazette le colporteur de balivernes

 

Tel un crieur tu étale nos lacunes dans toute la commune

Pareillement au vers dans la pomme

tu t’immisce dans la vie d’autrui

Tu t’impose en mécène à tous leurs problèmes

Mal leurs advienne là es leurs déveines

Puis à ta guise tout tu divise

 

Si un seul dont de voyance tu avais

De ta carence tu t’apercevrais

Tu présume être le conciliateur et bienfaiteur d’âmes en peines

Mais tel un tracteur de labour tout tu fais a rebours

Incohérence, dérisions, trahisons voilà tes oraisons

 

Tu dénigre sans vergogne les mains tendues qui te sortent du trou

O nom de l’amitié le seul mot que tu ne devrais jamais prononcer

A tu eu un ami ?

Vu ton grand age je trouve cela peut sage

Tu vie et tu réside seul

Tu prédis tes hypothétiques idylles et tu hypothèque tes hypothèses

 

Voilà mon garçon je n’est nul besoin de tes leçons

 Otangerac

situation