Archive for juin 2006

COUP DE GEULE

La zizanie

 

 

Qu’a-tu fait de ta vie ?

Critiqueur qui vaticine tout et plus encore

Toi ce protéiforme monsieur de cinquante six ans posés

Qui sans constance demeure dans une demi-résidence !

René la gazette le colporteur de balivernes

 

Tel un crieur tu étale nos lacunes dans toute la commune

Pareillement au vers dans la pomme

tu t’immisce dans la vie d’autrui

Tu t’impose en mécène à tous leurs problèmes

Mal leurs advienne là es leurs déveines

Puis à ta guise tout tu divise

 

Si un seul dont de voyance tu avais

De ta carence tu t’apercevrais

Tu présume être le conciliateur et bienfaiteur d’âmes en peines

Mais tel un tracteur de labour tout tu fais a rebours

Incohérence, dérisions, trahisons voilà tes oraisons

 

Tu dénigre sans vergogne les mains tendues qui te sortent du trou

O nom de l’amitié le seul mot que tu ne devrais jamais prononcer

A tu eu un ami ?

Vu ton grand age je trouve cela peut sage

Tu vie et tu réside seul

Tu prédis tes hypothétiques idylles et tu hypothèque tes hypothèses

 

Voilà mon garçon je n’est nul besoin de tes leçons

 

C.Alberto 01.12.2004

MON AME

Mon âme

 

Mon âme ne vaut pas la tienne

Semblables à de clairs fantômes

Ignorent mes jugements sévères

Je suis un chercheur d’émotions

Heureux tout en versant

 jalousement des pleurs

je me penchais sur mon cœur vaincu
et tout mes rêve volent vers l’exil

des signes muets, des étreintes

désenchanté de leur ivresse

en oublient des jours anciens

pareille à quelques buisson noir

désespérante âme oppressée
ne serait renaître de ses tourments

 

Caregnato Alberto  01.06.2006

L’AGONIE

L’agonie

 

Avançant par champs et chemins,

Je dirigeait ma marche altière

En prenant ma canne, stoïque

J’approche de toi divine lueurs

Plus douce et plus chère à mon cœur

Permis les fleurs, je désire

Prendre avec moi quelques baisers

De toi ma bien aimée

Et si au pied d’un chêne ont se couche

Sous la lumière du croisant

Il sera doux à mon cœur moribond

Que tu me réchauffe de ta bouche

Je te le rapporterais au retour de mon exil

En y joignant tout mon amour

Et s’il est besoin, t’offrir ma vie

 

A.Caregnato 06.06.2006

ENVIE DE ME REBELER

Ce qui ma donné envie d’écrire?

 

L’envie de me rebeller

Auprès de personne qui ma côtoyer trente cinq années, et qui croient bien me connaître

Que je vais vouvoyer plus par acrimonie que par dédain !

Qui a prétendu que je n’avais point fait de grandes études,

Soit ! j’arrive d’Italie a 7 ou 8 ans je travaille à 13 ma scolarité est moindre (soit !)

 

Je tiens tout d’abord a faire savoir a cette personne que depuis mes désunions il a bien fallu que je m’adapte, même a la cinquantaine passé ont peut se cultiver

Donc après mes multiples travaux manuels que j’ai pratiqué pour trouver ma voie mon renforcé dans ma modeste vie, apprenti boucher, maçon, plombier, plâtrier, électricien, décorateur, éleveur de cailles, épicier, loueur d’équidé, restaurateur, représentant et j’en passe, tout ce qui pour eux faisait de moi un instable.

J’ai à présent compassé les métiers de secrétaire de direction, entrepreneur, gestionnaire, gérant de S.C.I, gérant de restaurant, président de centre équestre, bailleur d’appartements et de fond, par la force des choses.

Ensuite il faut éviter de me prendre pour l’analphabète du fond de la classe, nous n’avons point vécu les même péripéties n’y côtoyer les même individus et encore moins sédentarisé mon individualité, vu que la vie s’apprend à l’extérieur.

Elle à voulu discerner de moi ce qui l’accommodé, c’est bien dommage et bien mal me connaître, toutes ses années à se côtoyer ne l’ont donc point interpellé ? néanmoins

C’est bien moi qui rédige mes spicilèges et correspondances (je fais des fautes certes mais sais me faire comprendre)voilà pour le simple mortel qui a peut fait d’études, malgré cela je ne suis pas parfait, on ne ma jamais rien donné, je subsiste a ma façon

Quant a elle qui eut le soutient moral et fructueux de toutes sa familles et entourages, à sa vie métronomique s’ajoute son indifférence, qu’elle se pose  la question suivante ?

Si l’on inverse les rôles je reste convaincu qu’il lui aurez étaient très laborieux d’apprendre mes fonctions et de surmonter mes désunions, traverser une période de longue maladie, puis

Tout recommencer à quarante ans avec une main derrière une main devant , il est vrai aussi que connaissant sa culture, j’aurais dut être plus clément, 30 ans de cuistrerie cela ne se change plu, il aurait fallu regarder au-delà de son propre nombril, et chercher hors de son enceinte du renouveau.

 

Quant a cette personne qu’elle se retourne, elle à fait un beau parcours il va de soit, avec les idées des autres, le soutien de certain, qui  l’ont aidé foncièrement, pécuniairement, manuellement, moralement, qu’elle à dénigré en chemin, elle n’a jamais tendu la main a ceux qui avait faim le mot complaisance eut étai condamné par avance, il est vrai que vous régentez tout, si mon parcours eus était comme le votre sens anicroches, mais avec mes idées je serais à ce jour milliardaire

Alors de grâce redescendez sur terre ne reniez pas votre prime origine

Voilà tous ses avènements qui font de moi ce que modestement je suis

 

 

 

Caregnato.Alberto 2004.2005