Archive for Mai 2006

LES FAUTES

Les fautes

 

Que ceux qui désire corriger mes fautes expient les leurs

Ses quelques spicilèges sont dédié a des personnes de mon entourage

Pour certains qui n’ont pas discerné ma personnalité

Pour d’autres qui ont supposé me saisir

 

Ainsi pour ceux qui on crut me dominer

Et certains qui mont comparé à un fous

D’autres qui mon fait souffrir

A ceux qui m’aime et que je ne sait pas

 

Enfin les faux semblants

Quelques uns qui pense à tout sauf du bien de moi

A l’automne de ma vie, je peut dire que rien n’est acquis

Et que l’on se délivre de notre tâche

 

Que lorsque l’on peut la contempler de la haut

Nous seront certes délivré, mais non point oubliés

Le temps passe très Vitte,

Aussi je lui vole un peut de ses nuits

 

A 8 ans je suis arrivé en France, a 12 je travaillé

 

Voilà ma culture !!!

 

C.Alberto 19.12.2005

reste au pres de moi

 

Reste au près de moi

 

 

 

Reste auprès de moi

comme si tu étais là pour moi,

pour longtemps

laisse tes cheveux pousser
en s’entremêlant aux miens.
Aime-moi

 

comme si c’était bon pour toi
comme si nous donnions

notre vie dans la vie.

Supporte-moi

comme si le poids

à porter n’était pas trop lourd

veille sur moi comme si

j’aitais perdu

 

LE VIEUX TIROIR

 

 

Le vieux tiroir

 

 

Rangé au fond d’un vieux tiroir

Voici mes souvenirs

Vestiges d’un rêve d’un soir

 

Il en est un qui me fait tant plaisir

 

C’est ma première lettre de toi

Ma seule lettre d’amour

Deux  entrées de cinéma

 

Datées au jour de notre première rencontre

 

Plier dans  un mouchoir rose altéré

Une fine chaînette au cœur fléché

Près  l’anneau turquoise que jadis tu portais

 

 

Dans son écrin rouge posé sur de la ouate

Nos deux alliances que tu n’as jamais vu

 

Nous voulions vivre a deux

A présent je dois survivre seul

 

Trente ans après vois-tu je- n’ais pas oublié

 

 

Caregnato Alberto 

LE SOMMEIL

Le sommeil

 

 

Sur un long chemin de solitude

Qui ne débouche sur personne, en aucun lieu

Dans les craquements secs sous la semelle

Une branche, une parole, d’espoir

 

Quelque chose est là, tout près

Je n’entends que ton souffle et la lenteur de tes pas

M’appuyant au vide de tout mon poids

Ouvrant la bouche, les bras écartés

J’entendais l’éternité ,et le vent dans les feuilles

 

Quelques branches glacés de solitude

Je voulais dire quelque chose !!

Me lever de là du fond même

Mais j’ai dormi profondément et longtemps

 

Caregnato Alberto   le 20 :05 :2006     04h.35

LE BON CHEMIN

me voila de retour de quelques jours dans mon jardin secret d’Auvergne de courte durée certe mais quel plaisir!!!

 

Le bon chemin

 

 Après quelques virages

Sur les contours éroder

D’un chemin de Campagne

Le peu d’herbe grisonnante qui craque sous les pas

L’odeur des rosées qui le matin pique le nez

Les cimes blanche et translucide

Des majestueux résineux

Le chant des oisillons en fond de forêt,

Le vas et viens des écureuils sur les noisetiers,

 

Là un petit pont au garde-fou précaire

Posé tel un ponts-levis semble protéger le hameau

Du haut du ponceau l’on peut sans ce lasser

Observer les poissons évoluer dans cette eau limpide

 

Puis traversé une petite île riche en surprises

Qui sépare la rivière en deux !

Si le hasard est là des biches en catimini

Traverseront le gué pour s’abreuver

Non loin un deuxième petit pont

Poser entre deux berges sauvages Emergeant des nuages de buée

De lance ruisselante au chandelle de diamant

Passé le proéminent petit pont

Là quelques maisons une dizaine tout au plus

Le clapotis de la rivière et toujours omniprésent

 

Sous un ciel d’ardoise

Un timide soleil d’hivers

La joie te pousse

Gaiement par le chemin

Tu es en marche

Dans la bonne direction

Tu vas arriver à la maison

 

Bérard 16 :05 :06 Caregnato.Alberto

L’ARBRE ABANDONNE

L’arbre abandonné

 

Oublier sur une place du village,

Triste et négliger, sans pluie, sans égards,

La nuit, compissée par des ivrognes

Qui en son pied se soulage sans vergogne !

Puis, dans la journée le triste végétal, éclaboussé

Et souillé par de maigres chiens errants

Pour finir écorché par les initiales

Des amoureux en quête de romantisme

Qui le lacère de leur lame de canif

 

Mais lui il était sombre, misérable le pauvre,

Il ne savait pourquoi, s’étais des jours

Des soirs entiers, des nuits.

Pourtant s’il pouvait dévoiler ses secrets

Avent qu’il ne soit faible

Et son pied enserrer dans le goudron,

 

Malgré cette indifférence au printemps

Il fait éclater sa capeline verte

Pour ombrager la terrasse du troquet

Au moment les plus chauds de l’été

Pour le bonheur des oiseaux et des cigales

 

Mais pour gagner quelques places !

Les hypocrites buveurs de pastis

L’on asphyxie à même les racines

L’on même brûler par inadvertance « qu’ils disent »

Voyez comme a présent il se me meurt

 

Un printemps pourtant son vert feuillage

N’étais point au rendez-vous

Les notables est les buveurs d’absinthes

Indigné de ce prévisible affront

Au pied le coupèrent sans aucune cérémonie

 

Et a la place plantèrent une ferraille de mauvais goût

Qu’ils appelèrent la stèle de la liberté !

Qui elle aussi est compissée par les chiens !

Et ironiser par les soûlots a qui l’hombre fait défaut

La ferraille n’abrite pas les cigales est les oiseaux

Et ne fait point de fraîcheur a la terrasse du bistrot

 

Ironie du sort le bois de l’arbre l’hiver venu

Se consume dans la grande cheminée du bistrot

Pour chauffé les pieds des  poivrots

 

C.Alberto   26.01.1994

LE JARDIN SECRET

Mercredi 15 janvier 5 h du matin 1997

 

Le jardin secret

 

 

 

Tu as partagé toutes mes joies et peines

Tu as enduré mes colères

Tu as était témoin de mes complots

Tu as inlassablement accompagné mes longues maladies

Je me suis approché de toi pour mes grandes lassitudes

Je t’ai souillé de ma sueur

Tu as étouffé mes sanglots

Tu as su me donner de beaux rêves

Je t’ai maudit pour mes cauchemars

Tu as su me protéger du froid

Tu connais tous mes secrets

Tu as su soulager mes angoisses

Tu sais lorsque je vais mal

Tu remarque mon besoin de toi

Tu as assisté à mes premiers ébats amoureux

Je t’ai fait des infidélités

Je t’ai fréquemment abandonné

Mais je suis toujours retourner vers toi

Tu as toujours suivi ma mutation de logis

Tu ma vu naître et grandir

Et tu me verras mourir

 

 

Je t’aime mon lit

 

Caregnato Alberto

LE REVEIL

 

 

 

Le réveil

 

 

Ce matin, j’ai cherché ta main sur le traversin

Mais en vain, tu n’y étais point

Aussi tôt je me retourne vers le coffin

Du Bambin et la stupeur ! plu de Cherubin

 

Un chagrin soudain  m’opprime

 

Ou es passé le gamin ?

J’enfile mes escarpins

je prends le chemin de de la salle de bain

 

Soudain je t’aperçois assise sur ton coussin

Donné le sein au coquin, qu’el beau dessin

Toi dans ta robe en satin, lui dans son maillot en lin

 

Vous n’étiez pas loin ! j’ai feins de rien

Mais je n’en pansais pas moins

Je suis allé chercher un morceau de pain et jais simulé la faim

Je me suis vautré dans un coin, et j’ai geint

 

Soudain, le tintouin, du réveil me sort de mes confins

Voilà un matin qui s’annonce bien

Je cherche mes brodequins, pour descendre vers le pétrin

Préparer les tartines de pain

 

 

Caregnato Alberto 13 :05 :2006    04 h25 du matin

TOUT SIMPLEMENT

Tout simplement

 

 

Je suis au grand virage de mon existence

Claquemure les jalousies ma mie

Toi qui désire bouleverser mes jours

 

Je n’est jamais détint l’aptitude

D’utiliser ces expressions usées qui parle de sentiment

Mais je subsiste le cœur plein de sensations

 

Et un amour qui brûle mes lendemains

Souvent il perpétue mes rêves d’infini

Quand discrètement mes doigts se joignent sur ta toisons !

Que ma bouche mordille ton épiderme à l’infini parfum !

Que mes lèvres s’imprégnés de ton désir !

Toutes ses choses qui font que je t’aime

 

                                                     Tout simplement
Caregnato,Alberto

LE PETIT CHEVAL GRIS

Le petit cheval    histoire vrais                Caregnato Alberto  20 09 :04  3h du matin

 

Je suis un petit cheval gris, de vingt huit ans et demi

J’ai longtemps besogné, souvent sans flemmardé

De Promenades en randonnées des nombreux cavaliers j’ai régalé

Docile courageux téméraire, de moi mon maître était fier

Son fils cadet sur mon dos à souvent voyager

Mais hélas !!Un jour de promenade, j’ai mis les genoux a terre

Non point de fatigue, mais d’une maladie que les humains nomme arthrose

Mon maître avait du chagrin, ils me fit rebrousser chemin

Dans un drôle d’engin, qui assure le transport des bovins

Il pris la noble décision d’un Sir, de ne poins me faire occire

Me dote d’une retraite bien méritée, non loin du lieux ou jadis je suis né

M’affable d’un grand prés ! Ou ! je devais enfin me reposer

Dans une famille d’accueil, qui d’accueil ne détient que le triste nom

En guise de repos j’eus le gros lot, une charrette sur le dos

Pour agrémentait les journées d’un homme sens vergogne

Qui sa retraite étant là depuis quelques mois, abuse d’avantage de moi

Ce père soit disent tranquille, pour se faire valoir à manqué a tous ses devoirs

Tantôt en père Noël, tantôt en cocher, les jours de marcher je- suis oppressé

Plus lourdes sont les charges au fil des ans, plus long est mon chemin de croix,

Ma retraite m’afflige, voilà bientôt dix années que je suis sensé me reposer

Ce  dimanche !! mon maître me brosse, m’harnache nous voilà parti tout de cuirs vêtu

Vers mon ancienne demeure nous sommes aller, quelle joie tous mes congénères était là!!!

Un peut triste pourtant de ne point voir mon Maître d’entant !!!

Saura t’il un jours ? Que j’ai traîné mon fardeau a deux pas de son Châteaux !

Je suis reparti en boitillant, dans l’autre champs promener des enfants

Pour la fête du cheval un peut de repos eu était normal pour moi vieil animal

Cette journée ne fus pas ma fête a moi le cheval, entre sueur et écumes, j’assume

Mais la journée d’un homme peut scrupuleux que l’on qualifiera de disgracieux

Qui pour son ambition personnelle , n’a pas perçu cette journée solennelle

L’abattoir aurait peut être soulager mes souffrances et abréger mon calvaire

 

Rasure toi petit cheval, c’est moi ton père, je t’ai vu derrière le rideau tirer ton fardeau

Honte à moi de t’avoir infliger ce maître là, soit clément envers moi, ne me juge pas

Mais vas noble monture ! vers ton destin, a moi tu ne ma apporté que joie

Cette journée du cheval ma profondément chagriné et tourmentée

Quant a ce gredin de cocher mériterais q’on le tâte du fouet

Un sens âme cupide dont le mot sentiment ne doit pas faire parti de ses antécédent

Qui sans convenance a proposé tes services a la concurrence

A son infamie, s’adjoint son incompétence a ne point discerner tes carences

Puis pour agrémenter ses journées, jardinier il devrait s’improviser

Car le seul contact qu’il devrait avoir avec toi FANFAN, étendre tes excréments

 

Le comble de ta journée, tu as tiré ta peine a de pas de ton domaine

Qui dix ans plutôt tu quitta pour ne plus porter de fardeaux

 

Quel gâchis

Et a ce jour il tire toujours son fardeau, malgré les avocats et les sermons pour faire fléchir son bourreau  de coché