Le petit cheval histoire vrais Caregnato Alberto 20 09 :04 3h du matin
Je suis un petit cheval gris, de vingt huit ans et demi
J’ai longtemps besogné, souvent sans flemmardé
De Promenades en randonnées des nombreux cavaliers j’ai régalé
Docile courageux téméraire, de moi mon maître était fier
Son fils cadet sur mon dos à souvent voyager
Mais hélas !!Un jour de promenade, j’ai mis les genoux a terre
Non point de fatigue, mais d’une maladie que les humains nomme arthrose
Mon maître avait du chagrin, ils me fit rebrousser chemin
Dans un drôle d’engin, qui assure le transport des bovins
Il pris la noble décision d’un Sir, de ne poins me faire occire
Me dote d’une retraite bien méritée, non loin du lieux ou jadis je suis né
M’affable d’un grand prés ! Ou ! je devais enfin me reposer
Dans une famille d’accueil, qui d’accueil ne détient que le triste nom
En guise de repos j’eus le gros lot, une charrette sur le dos
Pour agrémentait les journées d’un homme sens vergogne
Qui sa retraite étant là depuis quelques mois, abuse d’avantage de moi
Ce père soit disent tranquille, pour se faire valoir à manqué a tous ses devoirs
Tantôt en père Noël, tantôt en cocher, les jours de marcher je- suis oppressé
Plus lourdes sont les charges au fil des ans, plus long est mon chemin de croix,
Ma retraite m’afflige, voilà bientôt dix années que je suis sensé me reposer
Ce dimanche !! mon maître me brosse, m’harnache nous voilà parti tout de cuirs vêtu
Vers mon ancienne demeure nous sommes aller, quelle joie tous mes congénères était là!!!
Un peut triste pourtant de ne point voir mon Maître d’entant !!!
Saura t’il un jours ? Que j’ai traîné mon fardeau a deux pas de son Châteaux !
Je suis reparti en boitillant, dans l’autre champs promener des enfants
Pour la fête du cheval un peut de repos eu était normal pour moi vieil animal
Cette journée ne fus pas ma fête a moi le cheval, entre sueur et écumes, j’assume
Mais la journée d’un homme peut scrupuleux que l’on qualifiera de disgracieux
Qui pour son ambition personnelle , n’a pas perçu cette journée solennelle
L’abattoir aurait peut être soulager mes souffrances et abréger mon calvaire
Rasure toi petit cheval, c’est moi ton père, je t’ai vu derrière le rideau tirer ton fardeau
Honte à moi de t’avoir infliger ce maître là, soit clément envers moi, ne me juge pas
Mais vas noble monture ! vers ton destin, a moi tu ne ma apporté que joie
Cette journée du cheval ma profondément chagriné et tourmentée
Quant a ce gredin de cocher mériterais q’on le tâte du fouet
Un sens âme cupide dont le mot sentiment ne doit pas faire parti de ses antécédent
Qui sans convenance a proposé tes services a la concurrence
A son infamie, s’adjoint son incompétence a ne point discerner tes carences
Puis pour agrémenter ses journées, jardinier il devrait s’improviser
Car le seul contact qu’il devrait avoir avec toi FANFAN, étendre tes excréments
Le comble de ta journée, tu as tiré ta peine a de pas de ton domaine
Qui dix ans plutôt tu quitta pour ne plus porter de fardeaux
Quel gâchis
Et a ce jour il tire toujours son fardeau, malgré les avocats et les sermons pour faire fléchir son bourreau de coché