Archive for juin 2009

credo calicot

Tes états d’âmes freinent tes ardeurs

Et dissipe tes jours de bonheur
D’une dérive commise par erreur
D’une impasse sans fleur 

 L’amour te manque par défaut
Tu en veux toujours trop
Et si comme toi l’on ne pense tu tournes le dos
Sans même dire un mot…

Tes déficiences que tu crois nous cacher
T’enchaînes en secret
Et te laissent des jours sans fêtes
Sur des mots vulgaire et obsolète

 A t’entendre tu es ici pour changer la
vie !
Et que tu à tout en toi pour le fun-chui
 
Éradiqué tout ce qui sonne faux
Et Par toi enfin trouver le repos

Les promesses que tu ne tiens jamais
Cent fois sans regret
Me laisse un peu pensif

Sur tes états infertiles dépressifs… 

Comme ces feuilles qui brûlent en credo calicot
Le printemps se perçois dur et besogneux
Je fais abstinence de tes éphémères paroles
Et sans elles la vie caracole


A quoi servent ces histoires de guerrière
Si rien n’est changé dans la chaumière ?
Il nous reste de ces moments partagés
Que des maux mal soignés…

 

Otangerac 26.06.09



L’adieu a mon pére

 

 

Hier encore notre père nous
disait : "Je vous aime "

Toutefois le temps se consumait
sans restriction.

Pourtant un matin nous quittions ce
père au grand cœur,

Sans même voir les perles qui
brillaient dans ses yeux.

Croyant qu’il existait ailleurs des jours plus radieux

A présent nous avons compris,
qu’il n’avait qu’un désir,

C’était de nous voir heureux,

Sa tendresse pour nous resterait
en veilleuse.

Avec quelques petits-enfants et
arrière petits-enfants

Il tenait dans sa main les
trésors de la terre !

 

Son heure est venue… Et nous
qui tant l’aimions,

Nous avons dû fermer ses yeux…
nous ne t’oublierons jamais.

Nous l’avons cru éternel nous
avions une si grande envie

Qu’il ne quitte pas cette vie,

Mais les parents s’en vont, et
cela… c’est la vie.

Hélas ! Tous
nos semblables vers la même sortie

 

Nous avons déposé
notre immense douleur sur son visage ;

Puis la nuit la
pris par défaut.

Hélas ! La
mort ne défait rien qu’il ne peut se refaire !

Jadis tu nous
porta dans tes bras

Ironie du sort a
présent nous te portons en terre,

Malgré le chagrin
qui nous pourri la vie,

Les chemins entre
deux crépuscules sont différents

 

Mais nous nous
disons adieu toujours trop tôt !

 

Otangerac le 22/06/2009 18H15

Protéiforme personnage

 

Qu’a-tu fait de ta vie ?

Critiqueur qui vaticine tout et plus encore

Toi ce protéiforme personnage quadragénaire bien posé

Qui sans constance demeure dans une demi-résidence !

Toi la gazette le colporteur de balivernes

 

Tel un crieur tu étale nos lacunes dans toute la commune

Pareillement au vers dans la pomme

Tu t’immisce dans la vie d’autrui

Tu t’impose en mécène à tous leurs problèmes

Mal leurs advienne là es leurs déveines

Puis à ta guise tout tu divise

 

Si un seul dont de voyance tu avais

De ta carence tu t’apercevrais

Tu présume être le conciliateur et bienfaiteur d’âmes en peines

Mais tel un tracteur de labour tout tu fais a rebours

Incohérence, dérisions, trahisons voilà tes oraisons

 

Tu dénigre sans vergogne les mains tendues

O nom de l’amitié le seul mot que tu ne devrais jamais prononcer

A tu eu un ami ?

Vu ton grand age je trouve cela peut sage

Tu vie et réside seul sur ton nuage

Tu prédis tes hypothétiques idylles et tu hypothèque tes hypothèses

 

Voilà garçon je n’est nul besoin de tes leçons

 

Otangerac