Archive for Mai 2007

Distant de ton amour

Distant de ton amour

 

Tu es resté dans moi

Dans la profondeur de mes idées

Comme un morceau d’une vie qui n’existe plu !

Tu-es une aguilles dans mes veines

Un splendide mensonge

La lancinante plaie qui jamais ne se refermera

 

Chaque jours qui passent,

Par ta faute je mange des larmes

Le soir venu, mon lit paraît si vaste

Que même un grand amour si perdrait !

Parfois les échos de mon chagrin

A l’aube y résonne encore

 

Je t’écris de temps a autre

Cependant je ne devrais pas

Je voudrais me libérer de toi

Du piège de set idylle

Parce que je ne vis plu

Parce que tu me manque

 

Je passe mon temps à me demander

Que fait-tu sans moi ?

Mon souffle s’exténue pour expliquer

Que se vide de toi m’es insupportable !

Je suis le feu qui se consume

Distant de ton amour

 Otangerac 29.05.2007

L’amour buissonier

L’amour buissonnier

 

 

Inutile de frapper de  la sorte
 Personne ne vous ouvrira la porte
 Le monde nous l’avons enfermé dehors
 Avec ses cauchemars ses horreurs

 
Un mensonge avec les tiens
 Le frigo est garni, et c’est bien !
Un  coup de pied a la vie
Seulement toi seulement moi blottis 

Inutile  d’appeler à grosses voix
 Personne ne vous répondra
 Le téléphone a volé en éclats
 Quelques étages plus bas

 
 C’étais important tu sais de se retrouver
 De penser un peut à nous et de s’aimer
 Jamais nous n’étions ensemble
 A présent oui ! a présent ont se ressemble
 
 La peau comme unique habit
seul ici sans soucis
à manger un petit pain a deux 
 les miettes dans le lit c’et fameux

 
Le monde vu de derrière les vitres
 Avec tous ses gens qui s’agitent !
 Ressemble à un film muet

Serre moi un peut plus ma fée !


 Tu es belle quand tu veux m’impressionner
 Ma femme a moi ma poupée
 Ta pudeur de pêche m’émeut
Et rend ton corps plus envieux
 
 Laisse la lumière allumé
Et  regarde dans nos cœur illuminés
 Avec le temps qui c’est suspendu
Enfin seul un peut perdus
 

 

 otangerac 
 

Toi mon amour

Toi ma compagne mon amour
Toi que j’ai fait reine à ma cour
Où régnait la médiocrité
Toi qui partage mon chemin
Toi qui accepte ce destin
Sans un reproche et sans regrets
Si je n’ai pour t’en remercier
Pas un monde à mettre à tes pieds
Il me reste ces mots usés "je t’aime"

Toi mon amour ma jolie
Toi qui gouverne nos soucis
Et nos ennuis en plaisantant
Toi dont je paye le labeur
Par la monnaie des sautes d’humeur
Tu me pardonnes en souriant
Si je n’ai rien d’autre à t’offrir
Que l’amour et le repentir
Il me reste ces mots usés "je t’aime"

Toi ma compagne mon amour
Camarade des mauvais jours
Sur ton épaule j’ai pleuré
Lorsque tous se moquaient de moi
Tu n’as jamais douté de moi
Que de fois m’as-tu rassuré
Pour toute ta confiance en moi
Pour le bonheur que je te dois
Je t’offre ces trois mots usés "je t’aime"
Que je ne saurais te dire jamais
Jamais assez

Qua tu fait de notre amour

Qua tu fais de notre amour

Dis moi mon amour avoue !

 

Je ne suis plus le seul l’unique

Je ne suis plu ton souci idyllique

Je suis ton amour désert

Ton bonbon au goût amer

Que tu ne mange plu !

 

Car tu a une histoire, un bonheur

Que tu cache en ton cœur !

Mais……. Pourquoi es-tu une autre femme ?

Mais……  Pourquoi n’es-tu plus affable ?

Pourquoi ne m’avoir rien dit ?

 

J’ai mal à te voir amoureuse

Je souffre que tu sois rêveuse

Je ne savais pas parler d’amour !

Pourtant j’étais sincère et sans détour

Mais vas ! Je n’ais point de pensées haineuses

 

A présent le soir drape de noir 

Mon cœur vide de désespoir 

Avide d’un amour géant

Plu grand que l’océan

A la recherche du mal dont je souffre !

 

Qua tu fais de notre amour ?

 

 Otangerac 02.05.2007

La sirène et le leurre

La sirène et le leurre

 

Te voilà tout seul

Tu te retrouve sans amour

A présent tu découvre vraiment qui tu es !

Confronté à la douleur,

Tu prends conscience du courage que tu n’as pas,

Et que dans un verre d’eau tu te noie

 

Puis sous les ailes d’une pensée !

Tu te sens plu léger

Tu commence à souffler

A évoquer les dieux dans les cieux

Un désir que tu ne vois que dans ses yeux

Une envie ou dedans tu te mire

Dans toit tout reprend vie enfin tu respire !

 

L’incubation de ta solitude reste superficielle

Les choses deviennent toutes nouvelles

Tu sais que désormais tu auras des ailles,

Le monde entier dans tes mains nacrées

Que tu ne voudras jamais plu ouvrir !

La ! Tu sais qu’elle sera la dernière tu n’as plu à souffrir

C’est elle ! la femme que tu aimeras à en mourir.

 

Mais quand arrive une disgrâce

Tu te retrouve au fond de la mer de glaces.

Tu veux resurgir !

Tu nage vers le haut pour te ressaisir

Pourtant tu vois la lumière en surface !

Mais là ! Tu ne peux plu faire face

Et vers le font comme un leurre tu trace

 Otangerac 18.05.2007