Archive for novembre 2008

Ma Berezina

dernier_adieu

 

J’ai senti s’ouvrir un grand vide en moi

Moi qui ne vivais pas un instant loin de toi

Comment faire à présent pour vivre une vie sans toi !

Tu es mon Waterloo ma Berezina

 

J’ai fouillé et scruté chaque étoile du ciel

Chaque îlot et recoin oublié

A présent ton absence a un goût de fiel

Et l’amour que je portais au monde est répudié

 

Désormais mon cœur se drape de noir

Ton absence grandie comme mon désespoir
Ainsi que les épines sur les tiges des écarlates en décrépitude

Devant moi s’ouvrent des sentiers bordés de solitude…

 

Tu avais fait de moi un roi 
Et à présent tu m’abandonne dans cet enfer

Ou l’amour n’es plu pour moi q’un chemin e croix

Et je sens grandir en moi les grandes froidures de l’hiver

 

Otangerac

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Sur les murs

 

le mur

Trouve un sans a mes silences

Je veux bien prendre un peut de ta douleur

Car il ne faut pas se tromper de bataille

Et surtout ne jamais croire à toute cette pagaille

Je ne cesserais jamais de réclamer

Tes milles caressent et tes 24 milles baisers

Déjà tu sais que dans mon cœur Fatigué

Flottent encore violence et tendresse

Je ronge mes rêves jusqu’à la sève

Je me suis fait du mal, bien plus que tu n’aurais pus m’en faire

Je chemine seul, avec plus personne à qui confier mes états d’âme.

Et c’est toi que je pleure ce matin car tu m’as quitté,
Tu m’as repris bien plus que tu m’as donné.

Et mes paroles sont les mêmes qui s’écrivent sur les murs

Ou blessent des écorces d’arbres

Avec des larmes, et des parfums de femmes

 

Otangerac

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Entrer dans une eglise

 

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Entrer dans une église

Tomber à genoux

En Supplient le bon dieu

En lui promettant de brûler un cierge

 

Ecouter un cantique ou regarder une sainte figurine

Raconter ses déboires a son disciple

A travers le confesse qui nous oppresse

Et en levant les yeux au ciel, faire son mea-culpa

 

C`est trop facile quant l’amour nous à quitter

De crier que ce sera le dernier :

C`est trop facile quand un amour se meurt

D`aller pleurer comme les hommes pleurent..

 

Comme si l`amour c’était un dût !

L’amour ce n’est pas simplement

Un cœur tendre ou des mots d’amours

C’est n’est pas de déposé une immense douleur sur un visage

 

Même si je plie parfois sous le poids de ma croix,

L’amour brûle encore, dans mon corps, dans mon mal

Peu m’importent les chances d’une autre conquête

Je ne puis subir la tristesse d’un autre abandon

 

Malgré le chagrin qui me pourri la vie,

Il y’a des matins qui pleurent,

Les chemins entre deux crépuscules sont différents

J’ose moi-même y croire lorsque je me mens,

 
Aux deux mains qui pleurent leur victoire si froide

Sans toi, sans moi, sans nous, sans rien.

Porter le chagrin comme un suaire

En croyant que le cœur serait tranquille

 Otangerac

entre elle et elle

 

lecture_expliquee 

Y a -t-il une différence

Elle a handicapé ma vie

En me donnant la démarche d’un polichinelle

Et  elle

 Va-t – elle m’aimer

Sans vouloir en  changer

Entre elle et elle

 

Y a -t-il une différence

elle est omniprésente

J’en ai toujours les stigmates

elle

  C’est mon présent

Mais de son cœur

Je ne suis que spectateur

Entre elle et elle

 

Y a -t-il une différence

Elle ma foudroyé en plein essor

En me renvoyant solitaire

A mes seules douleurs

 elle

  Ressemble à un ange

 Suis-je simplement

Le démon qui le démange

Entre elle et elle

 

Y -t-il une différence

Elle était mon unique souci

Mon amertume aussi

Pour elle

Ferais-je simplement la  différence

Son cœur est pris dans la tourmente  

Entre elle et elle

 

Il y a hier et plu de demain

Juste un long chemin de croix

Pour que mon cœur accepte mon corps et retrouve sa joie !

 seul mon chien et heureux en ses moments là

Car de moi il profite sans rien demande

Fidèle compagnon, de mes angoissantes journées..

 Je promets que lorsque a nouveaux des champignons je pourrais cueillir

Il sera mon hombre pour le reste de notre vie   

Les bonbons acide

1700ptgr

 

 

C’est le noir de la nuit qui est passé

Dans ma tête et mes pensées

La musique que j’écoute, celle que l’on aimait

Dit exactement ce que je ne té jamais dit

Et ne te dirait plu aujourd’hui

Pourtant j’avais encore des choses à te raconter !

Des phrases d’amour à construire à broder..

 

Souvent avant de m’endormir épuisé

Je choisi des paroles comme un joli fruit!

Les plus belles que je connaisse celle qui supplie!

Pour les jeter aux alizés qui souffle vers toi

Traverser l’océan de souvenirs dont j’étais le Roi

Pour t’offrir ce parchemin aux mots doux gravés

 

Es-que quelqu’un d’autre te console

Souffle t-il a ton oreille de belles paroles ?

Dis-moi la nuit venue es-tu seule dans ton lit?

Dis moi a présent avec qui tu ris?

De moi avec lui parle-tu?

De nos déchirures et déconvenue

De nos rêves d’Arcole

 

Je me souviens s’étais l’été

Quelques mois déjà ont passé!

Juste avant que le destin ne s’acharne sur nous

Lorsque tu m’aimais !Lorsque j’étais fou!

Hélas le mauvais sort ma frappé

Obscurcit mes aurores es noirci ma vie sans aucune pitié

En laissant des stigmates irréversibles sur mon corps fatigué

 

Mais dis-moi vois-tu toujours ce fantôme placide.

Qui respirait sur ton épaule la nuit venue ?

Sous le lampadaire cristallisé par ta tendre vertu

Dis !si un soir tu le vois parle lui de toi et de se mal d’enfer

Et surtout dis-lui que la vie et un bonbon acide et amer

Que l’on déguste lorsque nos âmes en peines se vide !

De se mal d’amour qui un jour sans savoir nous invalide

 

Otangerac

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Tu me manque

 

baisé

 

Lorsque le soleil tend la main a l’horizon

Que l’obscurité éteint mes mots !

Et que ma tête murmure des oraisons

Avec une perfide lassitude a fleur de peau 

Tu me manque…

 

Tu es le nœud dans ma gorge qui ne s’en va plu

Souvent ton regard et ton sourire scintillent en moi

Je peux ! Faire semblant d’être bien sans toi 

Mais mes maux persistent et suis dépourvu

Tu me manque

 

A présent je comprends le mal d’être exclu

Ne plu te voir ou t’écrire avant de dormir

De marcher seul les pieds nus

Dans un sinistre misère a ne plu finir

Tu me manque

 

Je pourrais chercher une autre toi !

Mais je ne puis partir de toi

Tu es mon remord sans fin,

L’hiver de glace qui ronge mes matins…

Tu me manque

 

Lorsque je regarde autour de ma solitude

Il reste mes nuits et leurs éternels combat

A la recherche d’un quelconque fantôme qui ne viendra pas

Et a présent je peux te dire sans retenu ma prude

 Tu manque à mes mots

 

Otangerac

 

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