Archive for novembre 2006

Souvenirs singuliers

Souvenirs singuliers

 

 

Un souvenir ancien m’habite

Etonnante histoire , douce et féerique  

J’était jeune en ce temps, mon âme bouillait

Pas un seul cheveux blanc 

 

Par mis les belles jeunes femmes

Une était là.. dès mon éveil.

Je l’admirais comme un soleil.

Filante comme une étoile

 

Nos étreintes ne l’était pas moins

A Thérèse sa tendresse et moi mon ivresse

Une empreinte profonde, il me souvient !

Tout se passait dans nos silence…

 

Je savait son charme et sa beauté

Brûlants amants que mous fûmes

Ses baisés parfois me brûlent encor

Des voluptueuses et charnelles étreintes

 

Des amours dans l’obédience

Je ne veux perdre même un cris

De ses passions et leurs atteintes

Empli de trouble emplint de sens

 

Dans le fond des bois bruissants

La ou l’on calmé nos soifs charnelles

Troublante volupté dans sa douce folie

Des flemmes secrètes en sa mélancolie

 

Ses étreintes mont toujours lentement torturé

Se consument longuement dans le feu du désir

Alors soudain je me rappelle

Et tout mes rêves volent vers elle

 

Et mon exil en est hanté

 

A.Caregnato le 11.11.2006

Le divorce

Le divorce

 

La plume que dans mes doigts je tient

Est envahi de faiblesse et de tourments

A mon cœur je mets des entraves

Pour ne plus être ton esclave

 

Délivré l’âme de mon corps !

Avec langueur coulent mes jours

Je ne sais pas jusqu’ou je puis souffrir

Mon corps est vétuste triste et sombre

 

Parmi le plaisir et l’espoir

Apparaît une lueur incertaine

Désenchanté d’ivresse passagère

Le trouble que mon sommeil élude

 

Gemmes caché en mon cœur

Atteignit dans son immensité fatale

Entraînant lentement sa trace

D’une désespérance amère…

 

Amour et jeunesse, d’airain

Ne point se lamenter d’une blessure lointaine

Puis apprendre a vivre dans soi-même

Sans l’opprobre d’être délaissé

 

A.Caregnato 12.11.2006

La femme en bleu

La femme en bleu

 

Un jour je partis, solitaire ;

Derrière moi je lasse cette porte si familière

Comme jadis, lorsque j’aimais….

En ce jours je perd mon mois de mai.

 

En blanc était ma jeune fille,

A présent j’en aime une en bleu…

Et chaque jours se renouvelle

Une tristesse qui m’étreint.

 

Elle n’est rien pour moi , ni femme ni maîtresse

Mes elle passe dans mes nuits sans me laisser dormir ;

Son regard me poursuit sans cesse…

Lointaine, et pourtant proche,

 

Et, quand les mots sont impuissants,

Que les souhaits ne sont que néant ;

Relique d’un amour divin

Soudain s’assombrissant sans fin,

 

A ma vie et a mon cœur je mets des entraves,

Je vais, privé de sentiment,

Un long chagrin me ronge indéfiniment

De triste mots demeurent

 

Il n’est de bonheur sans amour

Vienne l’oubli des jours anciens,

Mais non pas la tendresse du cœur

Mais le repos de l’âme

 

La nuit m’empêche de dormir.

Je maudit l’imparfait bonheur de la terre

Ton image vit dans mon cœur ;

Je regarde encore cette porte familière

 

Hélas Nous seront deux dans notre peine

L’amour aujourd’hui est en déveine

J’ai le cœur d’un grand déshérité.

 

A.Caregnato 06.11.2006

Ou sui-je tombé

Ou sui-je tombé   

Je suis arrivé sur cette belle planète il y a 55 ans, au début tout était beau on y vivait bien en harmonie avec d’autre pays, il faut dire que c’était peu après le grand chambardement, leurs grandes guerres comme ils disent, la mondiale, puis ! J’ai tout appris sur l’histoire de celle qui devait devenir mon exil, la planète bleu, des cataclysmes, aux Dinosaures, des primates au Neandertal, de la conquête du feu a celle du fer, du vélo a la moto, du cheval a l’automobile, de l’avion a la fusé, puis !! Les grand conquérants tel César  Alexandre le Grand, Napoléon, Hitler, Staline, Mao, et j’en passe, tous ses illuminés qui rêvaient de conquérir le monde, qui n’on semé pour tout compte que désolation misère et consternation, le rêve des tous puissants de cette sphère ! Se lancer à outrance a la conquête de la stratosphère puis de la Lune, Mars arrive en prévision, et Venus qui bientôt ne sera qua un saut de puce, et pendant ce temps la belle bleu se Détériore, regardons la réalité en face, nous avons semé notre pagaille un peut partout, le pire c’est que nous détruisons la seule chose qui ne nous appartient pas, la terre, chaque jour d’avantage, au nom du progrès, hélas le mal et fait  puis, comme ce n’est pas suffisant au nom de la religion nous détruisons nos maisons, notre nourriture, nos amis nos enfants, qu’ils soient noir ou blanc, rouge ou basané il faut éliminer au nom de tout ses planqués, mais je ne crois pas que notre père qui es aux cieux est voulu tout ce monde de vicieux, moi !! j’aimerais retourner chez moi car de passage ici bas j’ai du mal à comprendre tous ses gens là et comme je ne suis pas comme eux je ne pourrais jamais être heureux, il me reste encore quelques années pour m’adapter mais je ne crois plus a cette vérité, a présent le ver est dans la pomme nous allons irrémédiablement vers la destruction de l’homme 

 Otangerac