Archive for juin 2007

Mes platanes

Le château des Bruyères a Pont Saint Esprit dans le Gard

Limitrophe avec l’Ardèche et le Vaucluse

Ce domaine qui aux derniers recensements au cadastre napoléonien

Appartenait au compte de LEZERT  lieutenant du Roy François 1er

 

Là !Dans son parc se trouve une dizaine de platanes plus majestueux les un des autres

Et par mis eux il en est un qui mesure 10 m de circonférence 54 m de haut 5 branches immenses de la grosseur d’un platane normal commence de son tronc et en font toute la curiosité, qui pour la petite histoire était sensé abrité une petite cabane, l’on distingue encore les stigmates de cette construction, ses platanes qui n’ont subi aucune taille sont immenses par leurs branchages, qui a eux seul vue du ciel forme une forêt, tel qu’en 1940 les Belges puis les Allemands ont fait du château leur quartier général car sous cette verdure les bâtiments était difficilement repérable de la route et du ciel par les avions de chasse

 

A présent la carrière d’un centre équestre a pris ombrage sous ses arbres

Un restaurant et ses chambres d’hôtes se trouvent sous le gros platane

Et vous pouvez écouter les cigales, déjeuner ou siroté une limonade sous sa verte parureOu même en plein été a midi une petite laine est de mise tellement la fraîcheur y es exquise  

tremble le feu

Tremble le grand feu
 Aux derniers jours D’automne

Consume mes rêves aux dernières aumônes
J’ose à peine sourire ou alors si peut

Toi ! Sur mon sommeil penché
 Tu regarde notre bonheur passé

Du haut de ton cadre d’une étoffe barré

Que les flammes réchauffes depuis tant d’années !

 

Le temps à séparées nos voies
Longues les heures ! Loin de toi 

Ma vie s’égraine en cet endroit

Ou tous les chemins mènent à nos joies


 J’ai l’impatience et la foi
De t’avoir près de moi

De retrouver enfin l’amour

Plus fort qu’au premier jour

 

Je serais retrouver les souvenirs enfouis
Ou nous étions d’heureux insoumis

Nous resterons les mêmes, à nous aimer
Avant que d’être sûrs de ne plu nous quitter 

 

Combien de temps à consumer ?
 Combien d’escarbilles à brûler ?
Devant cette cheminée

Afin d’être près de toi !

 

Si toi tu le sais, surtout dis-le-moi !

 

 Otangerac 05.06.2007

ne me quitte plu

Ne me quitte plu

 

Moi je ne sais parler d’amour,

L’émotion na! pas de voix
Il me manque un peu de souffle,

si tu es l’à y a trop de lumière et j’en souffre


Mon âme c’étale comme une musique d’été

Toi seule sais me détendre avec tes baisers
Puis tu sais, tu n’es jamais partie

Par-dessus mes sentiments il reste toujours l’envie

 

Moi avec toi je suis sincère,

je reste tel que j’étais, ton seul repaire
malhonnête jamais, je te le jure,

tu ma trahi, je te pardonne, je te rasure


Je te serais fidèle comme toujours,

pur jaloux comme tu sais mon amour

Oui je sais, je me contredis,

Mais a mes yeux tu es précieuse ma chéri
.
dans mes bras tu dormiras sereinement

 c’est très important tu sais pour se sentir pleinement
une autre vie tu me donneras

Ma compagne tu seras tant que tu le voudras.


nos caractères différents prennent feux facilement je sais
mais diviser nous somment perdu à jamais
 nous sommes deux attaché pour compte

d’un amour d’une profonde conviction

 

et personne ne nous divisera
 dans mes bras tu dormira

Nous vivrons comme tu sais que de sincérité

d’amour de loyauté

 

 

puis il sera ce qu’il sera, ne me quitte pas

 Otangerac

Maman

Il y a tant de souvenirs,

Qui de mon passé surgissent !

Certain me font rougir, d’autres me font rugir

Dans cette demeure ou tu nous as jadis élevés

Tu étais la première levée, et la dernière couchée

 

Tel un chef d’orchestres tout tu dirigeais

Et ce n’et pas de trop dire que cette tache était parfois insurmontable

Aussi comment faire dans ce pays, dont tu ne maîtrise point le langage

A trente printemps, cinq enfants turbulents un mari souvent absent 

Tu n’as pas souvent eut droit au repos,

 

 Laver, frotter, cuisiner voilà ton quotidien

Le soir en rentrant tu nous déshabillais, pour  laver nos effets,

Afin que le lendemain propre l’on puisse à l’école allez !

A chaque anniversaire le même gâteau, point de bougies bien sur !

Mais beaucoup d’amour.

 

A Noël nous n’avions pas les cadeaux espéraient

Mais je savais que d’un triste sourire

Tu nous dirais :

Vous verrez l’an prochain !

Le Père Noël sera plus généreux

 

Les jours les plus lumineux  dont me vient souvenance

Ce sont avec toi ceux de mon enfance

Certes nous n’étions pas riches

Mais de tes baisers

Tu n’étais pas chiche

 

Au crépuscule de ma vie,

Quand arrivera l’ultime moment,

Comme un enfant blessé !

 C’est encore toi que j’appellerai Maman

 

 Otangerac