Archive for avril 2006

TE VOILA DEBOUT

Te voilà donc debout

 

Nous ont en riait

Il était resté seul debout

Face a nous

Puis il se traînait pas à pas

Tel un ourson curieux

Une révélation pour lui

Et à un pas devant nous

Commence une grade histoire

Un pas devant lui

Un grand mystère

Mais il lui plaît aussi d’être assis

Puis il demeure pensif un moment

Il s’incline de haut en bas

L’avenir radieux lui appartient

Parfois mes doigts guides ses paumes

Le ciel de temps à autre lui tombe dessus

La !son regard se fige un instant

Puis pour la dixième fois

Il détale à l’assaut de la cuisine

Je voulais dire quelque chose

Mais le voilà reparti a la conquête de son nouveau monde

 

 

Caregnato. Alberto  le 14.10.2005* les premiers pas de MARCUS

BESOIN DE T’ECRIRE

LA NUIT J’AI DU MAL

La nuit j’ai du mal

 

A contenir mes rêves diurnes

Dans la prudence du silence

Mon esprit de tout est confus

Entre désirs et plaisir

Quel es ce perturbateur ?

Que me donne tant de chaleur ?

 

Pourtant Il ne fallu q’un bref instant

A mon âme pour s’avouée vaincue

Enfouie depuis des hivers

Le feu à resurgit d’une étincelle

Tout en moi est faiblesse

Pourquoi mentir je souffre à cœur ouvert !

 

Depuis ce regard au mille étoiles

Je ne serais dire si du bleus du vert

Je me trouvé dans un absorbant brouillard

Dans les yeux je n’es pu vous lire

Ces jours ou par le pur des hasards

Mon corps sans le sentir plié sous le poids de l’âme

 

Là ! ..Votre sobre silhouette mes apparue

Depuis vous êtes une lampe qui brûle ma vie secrète

Vorace es ma passion ! d’un miel empoisonné

Vous dormez dans mon insomnie

Vous suscité en moi la plus vive passion

 

De vous je suis esclave

Si l’on m’interroge, je dis :

J’ai trouvé la lune et, et le soleil.

Je vis en moi une pensée innocente

Quand vient la nuit par son versant naturel !

De Vos lèvres sensuelles j’ai envie

 

CAREGNATO.Alberto 24.04.2006 *

LA NEIGE

La neige

 

 

Je suis pourtant venu,

Personne ne ma devancé

Aucune trace dans la blanche neige

Puis j’ai attendu, et plus encore

 

Mon cœur est chaud, dans cette froideur

Mon corps trille dans ses guenilles

Mon diurne soliloque résonne au firmament

Mon amour pour toi est toujours présent

 

La neige a effacé tes traces

Je voudrais tant que tu m’enlace

Nous avions rendez-vous pour faire bombance

Maudite poudre blanche qui tombe en abondance

 

La neige a effacé tes traces

Toi et moi somment face à face

Toi dans tes crépusculaires nuages

Moi dans cette terrestre tourmente

 

Nous devions nous rencontrer

La neige a effacé nos traces

J’aurais tant aimé que tu deviennes ma femme

Le faix des ans n’a pas consumé ma flamme

 

Cette nuit de Noël

A la chapelle j’ai perdu ta trace, seul j’ai prié

Tes pas dans la neige n’ont laissaient aucune empreintes

Mais dans mon cœur il reste toujours une trace

 

 

Caregnato. Alberto 03.03.05*

SUITE DU PETIT CHEVAL GRIS

Echange de courrier  suite a la lettre du petit cheval gris FANFAN

 

Monsieur Dubost

 

 

Monsieur toute cette histoire dépasse le bon entendement, ceux qu’il vous manque, l’amour des animaux les principes sont bafoués, le noble humain et la pitoyable monture.

Nous sommes dans une tragédie du style les misérables vous les Tenardiers et Cosette le cheval, ouvrez un peut les Yeux, c’et ce cheval de 29 ans qui es en cause et votre moralité, et vous avez l’audace de dire que vous l’aimé, voyons ! Messieurs qu’elle arrogance qu’el amours du cheval !!

Vous dite luis apporter des soins ! Vous le maintenez en vie pour mieux l’exploité.

J’ai consulté le vétérinaire qui le visite, il ma bien confirmé qu’il le soulage de son arthrose

ce même vétérinaire qui 10 ans plus tôt la mis a la retraite, la seule différence et que vous l’exploité et pour cette seule et unique raison  je suis outré, j’ai mal pour lui et honte a moi de lui avoir infligé cette retraite bafouée. Ce cheval devait tenir compagnie a votre jument, alors monsieur de grâce ne venaient pas me faire la morale, j’estime être a ce jour suffisamment compétent en équidés. Car depuis 1979 je travaille professionnellement avec des chevaux, mon parcours en témoigne  (par ailleurs l’on dit de votre attelage ah !oui le petit cheval boiteux) pour ne point le voir il faut être négligent, ou tout simplement s’en désintéressé.

Pour votre gouverne le jour ou vous avez chargé le cheval ce fameux moi juin 1995 a Venejan nous étions en plaine randonnée nous avons eu du mal a le faire monter dans votre véhicule car il était à genoux(ceci justifie la présence du cheval chez vous, et je précise pour une retraite) Tous les enfants du club de l’époque s’en souviennent car déjà ils ne le chevauché que de temps a autres avent ce jour fatidique .Et 10 ans après vous avez le culot d’avouer que vous le faite travailler, SVP laissez le tranquille, Monsieur je dois vous verser une pension de 6232.50 euros pour récupérer le cheval, pour vous c’et une histoire d’argent, si vous l’aimez tant gardez le mais tranquille au prés, pour ma part monsieur j’ai un cheval de 26 ans Ringo que j’ai mis au pacages à st Michel, bien sur ayant votre conscience je peux l’exploité encore 10 ans comme vous faite avec Fanfan, j’aurais aussi pu le donner à une âme charitable, mais votre néfaste expérience ma sufis, et l’abattoir eu était mieux pour abréger ses souffrances

 

Voilà monsieur quant au 6232.50 euros je vais les octroyer à mon avocat pour que des personnes incompétentes ne puise plus exploiter mon cheval

Mais je n’est aucun souci de ce côte là SPA se délecte par avance, pour cela a l’amiable sut était mieux, vous avez beaux avoir le meilleur des dossiers du monde contre l’ignorance vous ne pouvez rien, vous n’avez toujours pas compris le sens de cette démarche nous voulons abréger les souffrances de Fanfan monsieur, tout simplement

Quant à dire que vous ne vous faite pas rémunérer là ! je me gausse il y a des dizaines et des dizaines d’enfant qui en témoigneront j’ai même des photos avec le tarif afficher sur votre calèche de grâce monsieur quant à la tournure que prend cette  affaire c’et bien vous qui l’avais voulu et ce n’est point fini, car moi quand je me bats pour une bonne cause je vais au bout, bien que la délation ne fasse  pas parti de mes principes, d’autre s’en chargeront pour moi (alors pourquoi remuer cette fange)

En plus il valait mieux conclure avec ma belle fille, car voyez vous nous ne sommes pas parents vous et moi encore moins amis donc je ne vois pas pourquoi je renierais mes principes

Quant en amitié le choix vous l’avais fait il y a quelques années, depuis je subsiste sens votre futile amitié , mais ceci n’excuse pas cela

A quelques jour de Noël vous le père Noël faite un cadeau a FANFAN sa retraite

 

ALBERTO CAREGNATO

ECRITURE

L’incompris

 

Il a était maçon, plombier, sculpteur, restaurateur

Fut-il un génial touche a-tout

Ou un gêneur, toujours par tout ?

 

A l’analyse de cet esprit incompris

 

On s’aperçoit, qu’il ne fut jamais a l’heures !!

Des modes et courant d’outrances

Qui font de l’Art… sa décadence !

 

Pourquoi cette brebis égarée du troupeau

N’a-t-il pas, du snobisme, vêtu les oripeaux ?

 

En encensant servilement l’art des magouilleurs

Qui, de l’argent pourri, en font un si bon beurre ?

 

Il fut, un Don Quichotte sans Rossinante et son armure

Qui combat pour l’art, les faux génies et les parjures !

 

Devons nous admirer cet personnage méconnue

 

Pourquoi, a-t-il tant aimé, des femmes, la beauté biblique

Alors que l’art moderne se cherche dans les WC public

 

De ses talents avec son cœur , il offrait tout

Ayant compris qu’une œuvre sincère ne peut avoir de prix

 

Alors, ce protagoniste désespéré, qui a pressent gît-la

Effondré comme un boxeur après un mauvais combat

Se repose enfin

 

Epitaphe sur mon tombeau

LA VIE MA FUIS

La vie ma fuis

 

 

 

Maudite soirée première nuit

Sans ton corps dans mon lit

 

A l’aube rien ne tournais rond

Depuis ton abandon

 

A l’apogée tout était en effervescence

Depuis ton absence

 

Au crépuscule tout se bouscule

Dans mon esprit incrédule

 

Cette nuit étoilée

Ma vie ma quittée

 

Caregnato.Alberto 10.02.2005*

LA RENCONTRE

La rencontre

 

Depuis longtemps vos cœurs étaient à la retraite

Vous avez vécus les feux de l’âme

Les griffures du temps !  à peine perceptible

Quinze ans, quarante ou d’avantage, quelle importance

Tant que le cœur bat dans vos êtres

 

Et là ! ce quatorze juillet

Au son de vos voix vous avez relevé la tête

Depuis, de plus en plus vous vous ressemblez

Les heures vous fuient comme des secondes

A présent vous n’avez plus, ni calme ni repos

 

Dans vos esprits il y a des millions de peut-être

Des milliers de projets

A chaque jour qui vous séparent l’angoisse vous envahi

Puis comme la rosé du matin c’est l’espoir qui fleuri

Et le doute qui meurt

 

A présent vous n’avez nul besoin de grands discours

Le bonheur annule le poids des tourments

Et quand viendra le temps de vieillir

Et que main dans la main, encore vous serez,

Nous comblés nous seront

 

 

C.Alberto  27.07.2005*

J’AI REVE SI FORT DE TOI

J’ai rêvé si fort de toi

 

Que te le dire ne peut te reproduire !

Tu es le souffle qui manqué à ma modeste destinée

Je ne puis actuellement imaginer le futur sens-toi

Les jours passaient ont renforcé notre idylle

De toi je veux tout le passer tes soucis et ta vie

Afin de te réconforter et tout te faire oublier

Ma vie a commencer avec toi un jour d’Août

J’ai appris de toi l’incandescence d’un incessant amour

Et de toi fier je- suis tu es extraordinaire comme notre fils

Vous incarnez la joie de mes yeux le bonheur qui manquer à mon existence

Ce bien-être que sens toi je n’aurais point consommé

 

Voilà mon amour même la nuit je te pense

 

 

Vendredi  22 : 10 : 04 7h 30

CAREGNATO Alberto

LA MORT

La Mort

 

O Mort ! unique porte ouverte sur les mystères de la nuit

Toi seule tu m’apporte un long sommeil sans ennuis

 

Et pourquoi te repousserais-je

Lorsque mon corps se couvrira de neige ?

 

Puisque, telle Antigone d’œdipe guidant le pas

Tu seras ma dernière amante, le soir de mon trépas

 

Car dans cette vie terrestre ou tout n’est que mensonges

Le refuge en toi, sera ma clef des songes !

 

Et vous êtres chers, disparus dans le temps, l’espace de la lumière

Retrouverais-je enfin, limage intact de votre corps, de votre chair

 

Hélas ! quand nous abandonnons a la terre nos pauvres morts !

Ils nous laissent en héritage, que regret et remords !

 

De nombreux savants et philosophes se creusent les méninges

Mais toi la grande Morts seras toujours l’impénétrable sphinge

 

Le hasard et la nécessité, le zéro et l’infini

Que d’hypothèse le penseur n’a t-il pas définies ?

 

Oublieux de ses fautes et de ses erreurs

Il eu est encore a plagier le créateur

 

Regardant par terre et ignorent le ciel

Il ne découvre là q’un monde superficiel

 

Seule la nature, dans sa grande sagesse

N’ignore pas, que même un géni, est assis sur son cul

 

Et que la poussière, elle-même, peut-être un grain d’amour

Puisque le destin de l’homme, est d’en renaître un jour

 

Nous sommes dans l’univers, d’éternels émigrants

La morts, étant la fuite de l’infini petit

 

Vers l’infiniment grand

 

 

Caregnato.Alberto