Archive for Mai 2009

La mauvaise decision

 


« Mon corps taillé a la hache

Ressemblent à un tombeau de marbre noir, 
Mon apparat de fête est aussi blanc qu’une nappe de cantine après bombance,

Et mon futal n’est pas plus vieux que les platanes de mon courtil.

Ma silhouette ressemble plus a un anachorète

Que un Robinson des îles en cette soirée qui devait être subtile!

« S’imaginerait-on jamais, à voir mon ardente dégaine,

Que l’indignation, a pris possession de tout mon être,

La trahison et l’inconscience de la bougresse!  

A mis a mon cou une corde qui me garrotte, 

Comme un chien coriace singent la garde !

Ah! si de cette fenêtre, où s’agitent des hombres,

Etait seulement tombée dans ma modeste vie

Une amitié sincère et vraie au lieu de mesquineries mal dirigée. 
En ce soir de saint sylvestre, mes soit disant amis.

Mon privé de ma compagne et mon bambin, ce fut une grossière erreur.

Cala témoigne leurs cuistreries

« Mais !N’est-ce pas Alexandra et mon petit Marcus assis à la table des affidés?

Quatre ou cinq soumis jappant et semblant sourire à l’agreste conspiratrice.

Elle a des éclairs andrinople dans les yeux, 
La possessive dame rebelle!

Son ardélion se cache derrière ses lunettes noires! 
Cherchant une algarade mais an vain  ! » 

 

« Le Royal restaurant est ce soir, aux falots,

Noir comme une cheminée séculaire!
Danse de circonstance! – chapon de la ferme! –pâté aux truffes!

Poussez-vous, que je goûte le saumon à la sauce beurre et persil!

Comique! Il manque des épices dans votre poisson d’avril. 
Mes amis, profité de faire bombance,

Car demain ce ne sera plu dimanche…

  
Et moi a quelque lieu de là, je me panades les poings sur mes hanches,

Coudoyant un univers étincelant de lampions clignotant

Mais dans ses murs vide, seul résonne mes bougonnements.

Je n’avais pas de quoi dîner; 
Ni le goût à acheter un bouquet de tulipes, tout étais arder.

Car cette patronnesse venait de me priver de ce que j’avais de plu cher

Mon intimité, mon indépendance et ma famille

 

Il y a de quoi se poser des questions ne trouvez-vous pas !!!

 

Otangerac…31/05/2009

Les réves qui s’éfondre

 

Regarde-nous
Nous n’écouterons plus nos bouches se répondre
Nos cœurs qui sonnaient faux
S’éteignent dans la nuit
Sous des rêves qui s’effondrent

Leurs débris s’en vont suivre sans bruit
le vol des condors dans le silence des Andes

Ou seul tes cris éraillés

Résonne encore désormais 
Avec toute sa violence

Ma bouche se referme
L’abîme de mon indifférence 
A absorbé ton tout dernier souvenir
 Tes calomnies injurieuses résonnent
Encore dans ce corridor

 
Qui retentit un temps au milieu de ta haine
Subir tes insultes étais triste à crever !
Tout s’est désormais éteint
Ton absence est plate à l’infini
Restent des images qui tournent et roule

Alors je devine
Comme à travers l’autre lumière
À travers la dernière
Des dernières
J’entrevois derrière

A présente je lève mon verre

Aux minutes qui tanguent dans les airs
A l’ombre de ton reflet
Aux jours délavés
Et ne songent plus qu’à sceller mes paupières

Afin d’oublier l’image de tes insultes sybarites
 
Otangerac 13.05.09

Lettre a un délateur

 

LETTRE OUVERTE A UN DELATEUR…

Le travail saisonnier est un travail arasant de quelques mois, gérer avec brio le temps les clients le personnel et la crise actuelle, et en plus les délateurs, donc voici pour toi ces quelques lignes, petit délateur minable. Tu vas te reconnaître car tu dois sûrement venir visiter ce site, cherchant sournoisement ce que tu pourrais discréditer, lâchement réfugié derrière ton anonymat a présent dénoncé. Tu dois faire partie du monde dit " roquet ", dont tu dois être un piteux exemple. Toi,ou même ton entourage, avez peut-être même profité de mon aide, avant que ta vilenie te fasse oublier ces moments là. Alors, aveuglé par ta haine, ta jalousie et ta bêtise, tu préfères essayer de détruire ce que d’autres ont construit, plutôt que d’utiliser ton temps à te rendre utile et non pas croassé tes insultes a qui veut l’entendre, je suis persuadé que tu dois vivre au crochet de la société pour passer ton temps a fouillé dans la vie des autres. Tu dois penser bien me connaître, au vu de ce que tu avances, mais c’est loin d’être le cas. Car, sinon, tu aurais su que mon premier principe est de me mettre en règle vu que des gars comme toi ont par le passé parasité ma vie mais ça tu le sais à présent a tes dépends, aussi pour me préserver de gens ou plutôt girouettes comme toi, bien trop nombreux sur cette terre. Mais tu dois te sentir tellement supérieur que tu n’as pas pensé une seule seconde à ça, préférant répandre tes allégations calomnieuses qui me sont revenu intact mot par mot. Alors "cher pantin malfaisant", Je tiens a te dire ceci pour ta gouverne les gens sont trop content que tu colporte des ragots a mon sujet, mais sont bien plus heureux de venir m’en parler car ont sait très bien pour toi qui le pratique et moi qui le subis les loups ne se manges pas entre-eux et toi tel un mouton tu es est tu restera quoiqu’il arrive un délateur et les gens n’aime pas les délateurs, je ne tomberais jamais aussi bas que toi il est vrai que d’autre comme toi en 1940 on fait des ravages. Je vais simplement laisser la vie te rattraper et se charger de toi, ce qui ne va pas manquer de se produire. D’ailleurs, n’a-t-elle pas déjà commencé son œuvre, en te faisant tel que tu es, pauvre nuisible.Tu laisse tellement de bave derrière toi que l’on peut te suivre à la trace. Et s’il te reste un soupçon d’intelligence, ce qui n’est pas gagné, tu pourras peut-être réfléchir sur cette phrase :

 

" Il est plus facile de critiquer l’ivraie du champ de son voisin que de cultiver le sien ".

 

A bon entendeur…